Pourquoi y a-t-il autant d'hommes dans l'informatique ? Raisons historiques, sociales, éducatives ?
Génial, à faire tourner.
Vachement intéressant comme pratique : un freelance explique comment il prend en compte la satisfaction que lui procurera une mission pour calculer son tarif.
Le tout résumé sur une ABAC :
Génial cet article de Margaux sur l'expérience professionnelle d'une thèse pour l'entreprise. À lire !
Y a vraiment quelque chose qui merdoie dans le capitalisme. OK, on aurait gueulé si quelqu'un recevait une prime pour réaliser un plan social, et ce serait bien normal.
Mais la finance a ça de balaise qu'elle arrive à jouer sur plusieurs bandes. En réalité, la ministre Muriel Pénicaud a réalisé une plus-value de plus d'un million d'euros en une journée, non à cause d'une quelconque prime au moment du plan social, mais par le jeu de revente de stock-options dont la valeur a flambé avec l'annonce du plan.
En bref, c'est pas l'entreprise, c'est la bourse. Parfois, c'est l'inverse, le système est 'achement bien foutu quand même.
N'empêche, à la fin, légal ou pas, je vois pas comment cette dame peut continuer de nous expliquer comment on doit rester pauvres et précaires.
J'adore ce tweet qui balance ces images :
Puis qui commente :
Quelqu'un peut leur faire un tuto sur le fonctionnement de la vie des gens normaux svp ?
J'ai aussi lu ailleurs un commentaire qui disait en substance : « Ils nous parlent de startup-nation et d'entreprise en permanence mais ils rechignent à faire des notes de frais »
Le voile est levé !
Étude de l'INSEE sur ce qui freine l'embauche selon les patrons. Résultats : ni le code du travail, ni le coût du travail, dans la plupart des cas.
Idem pour les licenciements : ce n'est pas le coût qui fait peur, mais le risque juridique.
Bref, synthèse rapide, à lire.
Un excellent lexique de langage corporate
Ce qui est le plus perturbant, c'est qu'on n'arrive pas à voir si c'est du sarcasme ou pas.
Comme le font remarquer les commentaires, il y a de petites corrections à apporter :
Au départ, c'était en avance sur son temps. Les premiers vidéastes connus aujourd'hui (Norman, etc.) ont commencé sur cette plateforme. C'était fluide, rapide, bref, bien.
Aujourd'hui, on arrive sur une interface catastrophique, les seuls contenus restants sont des vidéos aguicheuses / click-bait ridicules (pire encore que sur Youtube), chaque vidéo met une plombe à se lancer et le débit est ensuite vachement pourri.
Ça m'attriste, on dirait un syndrome FNAC vs. Amazon. Ils étaient en place pour rivaliser, ils ont oublié de faire évoluer le service. Du coup, il semble être totalement désert à l'exception de quelques institutionnels.
Bref, triste.
Rendre les services publics haïssables pour faire triompher le privé.
Tout est dit. Méthode classique.
via : https://twitter.com/JulienBrygo/status/862939303646777345
Curieusement, il n’y a qu’à l’étranger que le président de Vivendi rencontre des difficultés quand il veut passer outre les lois et les principes. En France, les règles de concentration pour préserver une presse indépendante, le respect de la réglementation boursière, les principes de gouvernance ne semblent jamais poser aucun problème à aucune autorité française, dès lors qu’il s’agit de Vincent Bolloré.
BOUM
Tout ce qu'il faut pour devenir Freelance (forum de conseils, outils, recherche d'emploi, etc.)
Bien pratique !
Et ben… Je découvre que change.org est une vraie merde. Je suis pas étonné en fait, je savais déjà que c'était un business, mais des points de détails me choquent.
Par exemple, on ne peut pas prétendre changer le monde en mieux tout en se déclarant au Delaware. Impossible.
En même temps, fallait pas s'étonner, ça reste une boîte américaine, et quand on connaît le charity business à l'américaine, ça ne pouvait ressembler qu'à ça (pseudo bonne conscience, étalement de son pouvoir, etc.)
Bref, ciao.
via : https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/755905395231567872
EDIT : la réponse du site : https://www.facebook.com/Change.orgFrance/posts/1039429219468352
Cette réponse est parfaitement inutile : elle ne fait que répéter que tout est faux, mais rien dans les précisions ne contredit l'article initial. Et au passage ment allègrement sur la situation du Delaware en terme de fiscalité.
Un bien bel exemple de ce que va donner l'inversion de la hiérarchie des normes en entreprise (pourtant une valeur fondamentale de la république). Je reprends les tweets ici :
via : https://twitter.com/LeBienPensant/status/742463197052014592
Courte vidéo sur une entreprise dite "libérée" : ce que ça a changé pour eux, et les résultats. Intéressant.
Faut se méfier de ce qui se cache derrière la soi-disant "nouvelle économie", plus branchée, plus horizontale, plus mieux en somme. En réalité, de la précarité à tous les rayons, de l'exploitation pure et simple, une destruction de notre protection. Je chie sur la nouvelle économie.
via : https://twitter.com/bortzmeyer/status/734418585368547329
Tellement réaliste ce dessin de Dilbert : beaucoup d'entreprises comprennent de travers "l'esprit start-up". En fait, elles ne sont pas intéresser par donner plus de flexibilité à leurs employés, plus d'égalité, plus de valeur à leur travail, mais simplement à ce qu'ils fournissent plus de travail. So true.
via : https://twitter.com/cathbarba/status/695476078635323392
Ça fait mal : il y a plus d'hommes prénommés John à la tête de grosses compagnies que … de femmes. En. Tout.
Et bim.
via : https://twitter.com/Margauxlergo/status/685163424238702592
J'approuve totalement ce qu'il dit. J'ai souvent eu l'occasion de faire le même constat. Je ne peux malheureusement pas en donner les détails, mais il me reste un sentiment d'amateurisme.
"n’allez pas croire que les directions d’entreprises sont des puits de science et de décisions réfléchies. C’est même plutôt l’opposé : […] les décisions sont prises à partir de résumés de 5 ou 10 minutes – parfois compris de travers – plutôt que de plonger réellement dans les chiffres et les études, le tout fortement influencé par des anecdotes, des personnes proches ou des déclarations de personnes connues."