Pourquoi y a-t-il autant d'hommes dans l'informatique ? Raisons historiques, sociales, éducatives ?
Génial, à faire tourner.
— Permalien
Vachement intéressant comme pratique : un freelance explique comment il prend en compte la satisfaction que lui procurera une mission pour calculer son tarif.
Le tout résumé sur une ABAC :
— Permalien
Génial cet article de Margaux sur l'expérience professionnelle d'une thèse pour l'entreprise. À lire !
— Permalien
Y a vraiment quelque chose qui merdoie dans le capitalisme. OK, on aurait gueulé si quelqu'un recevait une prime pour réaliser un plan social, et ce serait bien normal.
Mais la finance a ça de balaise qu'elle arrive à jouer sur plusieurs bandes. En réalité, la ministre Muriel Pénicaud a réalisé une plus-value de plus d'un million d'euros en une journée, non à cause d'une quelconque prime au moment du plan social, mais par le jeu de revente de stock-options dont la valeur a flambé avec l'annonce du plan.
En bref, c'est pas l'entreprise, c'est la bourse. Parfois, c'est l'inverse, le système est 'achement bien foutu quand même.
N'empêche, à la fin, légal ou pas, je vois pas comment cette dame peut continuer de nous expliquer comment on doit rester pauvres et précaires.
via : https://twitter.com/Klaire/status/890804346010705920
— Permalien
J'adore ce tweet qui balance ces images :
Puis qui commente :
Quelqu'un peut leur faire un tuto sur le fonctionnement de la vie des gens normaux svp ?
J'ai aussi lu ailleurs un commentaire qui disait en substance : « Ils nous parlent de startup-nation et d'entreprise en permanence mais ils rechignent à faire des notes de frais »
Le voile est levé !
— Permalien
Étude de l'INSEE sur ce qui freine l'embauche selon les patrons. Résultats : ni le code du travail, ni le coût du travail, dans la plupart des cas.
Idem pour les licenciements : ce n'est pas le coût qui fait peur, mais le risque juridique.
Bref, synthèse rapide, à lire.
— Permalien
Un excellent lexique de langage corporate
Ce qui est le plus perturbant, c'est qu'on n'arrive pas à voir si c'est du sarcasme ou pas.
Comme le font remarquer les commentaires, il y a de petites corrections à apporter :
via : https://twitter.com/boscodo/status/884442564107153409
— Permalien
Au départ, c'était en avance sur son temps. Les premiers vidéastes connus aujourd'hui (Norman, etc.) ont commencé sur cette plateforme. C'était fluide, rapide, bref, bien.
Aujourd'hui, on arrive sur une interface catastrophique, les seuls contenus restants sont des vidéos aguicheuses / click-bait ridicules (pire encore que sur Youtube), chaque vidéo met une plombe à se lancer et le débit est ensuite vachement pourri.
Ça m'attriste, on dirait un syndrome FNAC vs. Amazon. Ils étaient en place pour rivaliser, ils ont oublié de faire évoluer le service. Du coup, il semble être totalement désert à l'exception de quelques institutionnels.
Bref, triste.
— Permalien
Rendre les services publics haïssables pour faire triompher le privé.
Tout est dit. Méthode classique.
via : https://twitter.com/JulienBrygo/status/862939303646777345
— Permalien
Curieusement, il n’y a qu’à l’étranger que le président de Vivendi rencontre des difficultés quand il veut passer outre les lois et les principes. En France, les règles de concentration pour préserver une presse indépendante, le respect de la réglementation boursière, les principes de gouvernance ne semblent jamais poser aucun problème à aucune autorité française, dès lors qu’il s’agit de Vincent Bolloré.
BOUM
— Permalien
Tout ce qu'il faut pour devenir Freelance (forum de conseils, outils, recherche d'emploi, etc.)
Bien pratique !
— Permalien
Et ben… Je découvre que change.org est une vraie merde. Je suis pas étonné en fait, je savais déjà que c'était un business, mais des points de détails me choquent.
Par exemple, on ne peut pas prétendre changer le monde en mieux tout en se déclarant au Delaware. Impossible.
En même temps, fallait pas s'étonner, ça reste une boîte américaine, et quand on connaît le charity business à l'américaine, ça ne pouvait ressembler qu'à ça (pseudo bonne conscience, étalement de son pouvoir, etc.)
Bref, ciao.
via : https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/755905395231567872
EDIT : la réponse du site : https://www.facebook.com/Change.orgFrance/posts/1039429219468352
Cette réponse est parfaitement inutile : elle ne fait que répéter que tout est faux, mais rien dans les précisions ne contredit l'article initial. Et au passage ment allègrement sur la situation du Delaware en terme de fiscalité.
— Permalien
Un bien bel exemple de ce que va donner l'inversion de la hiérarchie des normes en entreprise (pourtant une valeur fondamentale de la république). Je reprends les tweets ici :
via : https://twitter.com/LeBienPensant/status/742463197052014592
— Permalien
Courte vidéo sur une entreprise dite "libérée" : ce que ça a changé pour eux, et les résultats. Intéressant.
via : http://www.margaux-perrin.com/serendipity/?9rYrYA
— Permalien
Faut se méfier de ce qui se cache derrière la soi-disant "nouvelle économie", plus branchée, plus horizontale, plus mieux en somme. En réalité, de la précarité à tous les rayons, de l'exploitation pure et simple, une destruction de notre protection. Je chie sur la nouvelle économie.
via : https://twitter.com/bortzmeyer/status/734418585368547329
— Permalien
Tellement réaliste ce dessin de Dilbert : beaucoup d'entreprises comprennent de travers "l'esprit start-up". En fait, elles ne sont pas intéresser par donner plus de flexibilité à leurs employés, plus d'égalité, plus de valeur à leur travail, mais simplement à ce qu'ils fournissent plus de travail. So true.
via : https://twitter.com/cathbarba/status/695476078635323392
— Permalien
Ça fait mal : il y a plus d'hommes prénommés John à la tête de grosses compagnies que … de femmes. En. Tout.
Et bim.
via : https://twitter.com/Margauxlergo/status/685163424238702592
— Permalien
LOL
cf : http://foualier.gregory-thibault.com/?searchtags=orange
— Permalien
Petite vidéo explicative du concept d'entreprise libérée. Un fantasme pour beaucoup.
— Permalien
J'approuve totalement ce qu'il dit. J'ai souvent eu l'occasion de faire le même constat. Je ne peux malheureusement pas en donner les détails, mais il me reste un sentiment d'amateurisme.
"n’allez pas croire que les directions d’entreprises sont des puits de science et de décisions réfléchies. C’est même plutôt l’opposé : […] les décisions sont prises à partir de résumés de 5 ou 10 minutes – parfois compris de travers – plutôt que de plonger réellement dans les chiffres et les études, le tout fortement influencé par des anecdotes, des personnes proches ou des déclarations de personnes connues."
— Permalien
« François Hollande ne préconisait-il pas lui-même, dans Le Monde du 15 juin 2011, de "laisser une plus grande place aux partenaires sociaux dans la définition et l’élaboration des normes sociales" ? »
Putain… Sans déconner, c'est une connerie sans nom. Enfin, une connerie non, ce serait penser que Hollande est juste abruti. En réalité, il est parfaitement conscient de ce qu'il fait. Le code du travail établi une relation entre les entreprises et les salariés de ces dernières. Le fait qu'il existe un ensemble de règles figées par l'état et non négociable est là pour éviter les déséquilibres de puissance qu'on rencontre surtout dans certains secteurs. Le découdre, c'est donc rendre certains salariés sujets complets de leur entreprise.
Et les négociations sociales alors ? Bullshit je dis. Exemple : lorsque je bossais en intérim, pendant mes études, on m'a proposé de faire des inventaires de nuit et en weekend. Payés combien ? SMIC horaire. Sans surcoût lié à la nuit, au travail en équipe, au dimanche, etc. Tout simplement grâce à la convention collective applicable. Mais c'est facile dans ce secteur de signer n'importe quoi, lorsque l'on sait que les inventaires sont réalisés uniquement par des salariés temporaires (donc, pas de force salariale au moment de la signature). Supprimer le code du travail, c'est généraliser ce genre de chose.
via : https://twitter.com/ThierryBeysson/status/639166590349639682
— Permalien
93%
Putain.
— Permalien
Très beau, et analyse assez juste. Je ne parle pas des aspects sécurité / ANSSI, mais plutôt du carcan administratif qui bride tout … jusqu'à la conclusion : « il faudrait aussi arrêter de sans cesse se reposer sur l’État, et prendre ses responsabilités : c’est aux acteurs d’agir, pas d’attendre que ça vienne à eux »
— Permalien
Article intéressant (pas pour son titre) mais pour son explication du phénomène « biface business »
Extrait :
« Dans les entreprises « bifaces », c’est bien plus compliqué. Il y a deux prix à fixer pour optimiser le chiffre d’affaires. Souvent, les entreprises sacrifient un marché (en renonçant à tout bénéfice, voire en acceptant une perte) afin de maximiser les profits sur l’autre marché.
Un fabriquant d’annuaire le distribue gratuitement pour maximiser le profit tiré des annonces.
Une boîte de nuit sépare son marché en deux : gratuité pour les filles, prix fort pour les garçons.
Visa accorde des cartes de crédit gratuitement aux clients finaux, et fera son beurre sur les commerçants.
Amazon vend son téléphone moins de 1 dollar (sacrifiant son chiffre d’affaires sur ce dernier) en vue de conquérir suffisamment d’utilisateurs pour conquérir l’autre marché, celui des applis.
Un salon commercial fixera un prix élevé sur les exposants, ce qui permettra de fixer un prix bas sur les clients, et donc de garantir une fréquentation importante (ce qui au final bénéficie aux exposants). »
]]>J'suis 100% compliant avec Korben sur le coup.
Shorter : pour contrer les géants, va falloir se sortir les doigts.
— Permalien
Du bon grand n'imp' de management à la con.
Que les gens qui suivent ces conseils s'étouffent dans des torrents de vomi.
via : https://twitter.com/Jaddo_fr/status/473986339428253696
— Permalien
Un dessin expliquant le traité transatlantique, a.k.a. TAFTA.
Tout cela a l'air si gros que je me demande si ce n'est pas faux…
— Permalien
Uhuh, true story.
Du vécu.
— Permalien
Que dire ? Tout donne à gerber dans ce texte : le geekisme soit-disant pas pour les filles, la fiction habituelle "notre diplôme, c'est pour devenir chef de projet", ou encore "programmer ça sert à rien en informatique, vous vous êtes les chefs", etc.
J'y vois le problème majeur de l'informatique et de l'innovation en France : on est un pays où il faut être "chef" (mais de quoi ?) où on apprend à l'école à devenir "chef de projet" (vaste blague, c'est un métier de terrain).
On forme souvent des crétins imbus, et on considère que la création de valeur, le vrai travail (de l'informaticien, de l’artisan ou autre) c'est pour les nazes barbus qui sont rien que des petites merdes. En France, il faut être au dessus des autres. Pays sclérosé.
Et Gates ? Et Jobs ? Et Page ? etc. C'étaient pas des geeks ? C'étaient pas des créateurs de valeurs ? Leurs entreprises ont bien marché parce qu'ils savaient utiliser OpenProject ?
Heureusement, ce discours tient de moins en moins, y compris, j'ai l'impression, par les étudiants.
Créez !
via : @brouberol alias Balthazar Rouberol, ancien INSAien et connaissance.
— Permalien
Un très bon avis de Glazou (ou Glazman ?) : non, aucune entreprise (ni quoique ce soit) est impossible à concurrencer.
Mon résumé perso : il suffit de créer de la valeur, ou juste une valeur différente, une façon de faire différente ou encore un service/produit plus pratique ou innovant pour faire chuter un géant. Le jour où Google stop l'innovation, et c'est ce qui est en train d'arriver, ils disparaîtront. Aucune fidélité acquise des clients.
— Permalien
Un vrai risque juridique pour les SSII.
Et un droit enfin reconnu !
Youhou !!!
Une bien belle action. Faut l'aider cet homme. À nos niveaux.
Pour ma part, j'ai pas grand chose à faire pour aider, malheureusement, mais d'autres le peuvent.
via : https://twitter.com/Korben/status/449179519166214144
— Permalien
OVH il y a 13 ans… La société a bien changé !
via : https://twitter.com/Korben/status/435109459892133888
— Permalien
Rubrique de sexisme un peu plus qu'ordinaire : des femmes virées ou mutées pour avoir été trop jolies / attirantes.
Faudrait juste expliquer que pour les imbéciles qui ne savent pas se retenir / se contenir, la beauté n'est pas déterminante.
— Permalien
Le « plafond de verre » en une image. Ou comment une entreprise composée quasi-exclusivement de femmes a, à sa tête, les seuls hommes de l'entreprise…
J'ai vu ça des dizaines de fois. Dans les assos, les maisons de retraite, les hôpitaux, les pressings industriels, etc.
— Permalien
Incroyable. C'est la première fois que je tente d'utiliser le service Exchange ActiveSync sur mon téléphone (perso je précise). C'est totalement dingue :
En fait, je suis partagé entre admiration et agacement. Admiration, parce que c'est assez dingue qu'une appli de syncro (mails/calendar/etc.) puisse faire ça. Et la façon dont ça marche. C'est certainement très pratique à l'heure du "BYOD" [Bring Your Own Device]
Cependant, c'est hyper intrusif, et le périphérique (perso à la base) devient presque un périphérique de l'entreprise. On perd le contrôle sur son propre périph.
Je laisse donc tomber cette configuration, et pour ma part j'vais plutôt tenter de choper un BlackBerry de l'entreprise. De toute façon, ce n'est peut-être pas une bonne chose que de mélanger pro et perso.
— Permalien
D'après Ernst & Young il serait moins cher et moins compliqué de créer son entreprise en France que partout ailleurs dans le monde. Et on serait aussi les meilleurs en terme d'éducation et de formation.
Tout ça me trou le cul. Mais bon, si c'est Ernst & Young qui le dit…
— Permalien
Pour une fois que J.M. Messier ne disait pas une merde…
Article du JDN qui nous rappelle que la grande entreprise est en voie de déconfiture et que l'heure de l'individu est née. C'est pas trop tôt.
— Permalien