Mais alors que l’enjeu de sécurité – sans même parler de morale – est aussi grand qu’en ex-Yougoslavie pour les Occidentaux, ceux-ci sont restés, cette fois-ci, spectateurs effarés du drame. Alep aura été l’un des tombeaux du droit international, de l’ONU, du minimum de décence et d’humanité. La grande majorité des habitants d’Alep-Est ont vécu (et péri) sous les bombes, dans les privations et à la merci des exactions de la rébellion, plutôt que de subir la torture et la dictature du régime Assad. C’est dire ce qui attend les survivants et l’ampleur du rejet du régime syrien dans une bonne partie de la population.
via : https://twitter.com/PenelopeB/status/808671463981121537
De Villepin qui écrit sur la Grèce, c'est surprenant. Autant cet individu a une tendance profonde à dire n'importe quoi sur tous les sujets, autant sur les questions internationales, il est louable. Le dernier des chiraquiens ?
« L’histoire récente de la Grèce, c’est l’histoire de la plus grande punition d’un pays en temps de paix. Il n’y a guère d’exemple d’un pays développé subissant, sans guerre, une telle chute de son revenu -25% depuis 2009. Un chômage des jeunes de 60%, c’est-à-dire une génération sacrifiée. Peut-on imaginer la rancœur qui s’installe pour des décennies dans ce pays, cultivant le ressentiment et le sentiment d’être victime de l’histoire ? »
Des grandes sociétés américaines dirigées par ses femmes. Pas demain la veille qu'on aura pareil en France.