Je ne sais pas quelle est la méthode utilisée pour remplir ce tableau, mais le résultat fait froid dans le dos.
via : https://twitter.com/MichelFuselier/status/796694576140582912
Tout dans cette histoire est horrible. C'est d'une tristesse, ça me révolte.
Les enseignants n'ont pas fait pas leur taf.
Mais heureusement, ça change, progressivement, même dans un corps si peu enclin au changement.
Hâte de voir la réponse pénale.
Bonne remarque. Des profs qui passent toujours leurs combats avant ceux des autres. Comme si on ne les entendait pas ?
Que se passe-t-il dans cette corporation pour être toujours si négatifs ?
via : https://twitter.com/louisetourret/status/662182039588876288
Un message touchant et plein de sens à la suite des attentats de Charlie Hebdo. S'il n'y avait qu'une phrase à lire, ce serait pour nous sans doute celle-ci : « Les élèves de Seine Saint-Denis […] aimeraient bien qu’on leur foute la paix, pour une fois, qu’on arrête de braquer les projecteurs sur eux dès qu’un bas du front islamiste vient dire ou commettre quelque chose d’effroyable. »
Que dire ? Tout donne à gerber dans ce texte : le geekisme soit-disant pas pour les filles, la fiction habituelle "notre diplôme, c'est pour devenir chef de projet", ou encore "programmer ça sert à rien en informatique, vous vous êtes les chefs", etc.
J'y vois le problème majeur de l'informatique et de l'innovation en France : on est un pays où il faut être "chef" (mais de quoi ?) où on apprend à l'école à devenir "chef de projet" (vaste blague, c'est un métier de terrain).
On forme souvent des crétins imbus, et on considère que la création de valeur, le vrai travail (de l'informaticien, de l’artisan ou autre) c'est pour les nazes barbus qui sont rien que des petites merdes. En France, il faut être au dessus des autres. Pays sclérosé.
Et Gates ? Et Jobs ? Et Page ? etc. C'étaient pas des geeks ? C'étaient pas des créateurs de valeurs ? Leurs entreprises ont bien marché parce qu'ils savaient utiliser OpenProject ?
Heureusement, ce discours tient de moins en moins, y compris, j'ai l'impression, par les étudiants.
Créez !
via : @brouberol alias Balthazar Rouberol, ancien INSAien et connaissance.
Mouarf, Luc Damas, ce génie.
J'ai toujours kiffé à mort les automates.
Compte-rendu d'une participante à "la piscine" de l'école 42 de Xavier Niel. Ça a l'air hardos, mais assez sympathique. Certainement élitiste.
Intéressant en tout cas.
L'angoisse des rentrées scolaires.
Je dois reconnaître que, malgré un très bon parcours d'études, j'ai toujours ressenti un certain dégoût des rentrées scolaires. Et que je n'ai pas vraiment apprécié l'école. Heureusement, l'université, c'est génial.
Le vécu d'une prof de maternelle dans une ZEP. Et tous les moments WTF.
C'est vraiment intéressant parce qu'on comprend directement ce que change la diversité culturelle propre aux ZEP, mais aussi les difficultés que ça peut amener.
Puis je suis assez fan, parce que le discours de cette prof est vraiment positif et ça fait plaisir à entendre, hein.
Tiens, intéressant ce concept d'école à l'envers. Autant je suis pas un super fan des petites vidéos YouTube, autant le concept de « théorie à la maison » « devoirs à l'école » j'apprécie beaucoup.
À voir donc.
Tiens, apparemment, 42 — l'école de Xavier Niel — c'est « en carton »
Témoignage à prendre avec des pincettes, mais finalement pas étonnant.
Même si j'ai toujours apprécié les avancées de Xavier Niel, je ne supporte pas sa façon de faire. Digne d'un enfant gâté.
Vouloir tout refaire, repenser, reprendre, c'est bien, mais encore faut-il s'appuyer sur des bases solides. 42 c'est comme la Freebox : la 4e version sera mieux.
Luc Damas. Tous ses posts sont excellents. Celui-là¹, plus politique, n'y déroge pas. J'aime ce blog BD à 100%.
En plus, ça me rappelle de belles années.
¹ : exactement la réalité du Web aujourd'hui si on fait pas le ménage : avec les limitations, les pubs passent très bien, et le contenu beaucoup moins bien. L'exemple est criant dans la VOD.