Petit rappel de l'après "Charlie", et l'emballement judiciaire déraisonné.
« Le terrorisme est pour le corps social comme une piqûre de guêpe. C’est douloureux, l’auteur de ces lignes en sait quelque chose. Cela arrache un cri de douleur, parfois des larmes. Mais ce n’est jamais mortel. Ce qui peut provoquer la mort, c’est la réaction excessive du corps face à cette agression. C’est le choc anaphylactique, le système immunitaire du corps qui en, sur-réagissant, finit par se détruire lui-même. »
« Non seulement cette répression absurde est inutile, mais elle est dangereuse. C’est une défaite de la Raison. Et nous ne pouvons pas nous le permettre. »
Du Maître Eolas dans le texte.