LeGorafi :)

Mon commentaire était juste lié à pas mal d'agacement. Notamment dans ma vie professionnelle où je constate ce qu'on appelle "la génération reine".

Quand au chiffre, je suis bien d'accord avec toi sur l'attention qu'il faut y porter (je le répète ici assez souvent : c'est mon métier également) mais certains points soutiennent ce dernier (en tout cas son ampleur) et notamment le fait que justement, ce chiffre n'arrange pas les commandeurs.

En tout cas, merci pour cet échange (et donc vive Shaarli)

EDIT : c'est vrai qu'il y a de bons commentaires (et d'autres très cons). Quelques uns (sans leurs accords, oups …) :

• « Quoi d' étonnant quand on voit que nous sommes gouvernés par des gens qui étaient déjà au pouvoir sous Mitterrand? »
• « La dette est également constituée par "l' aide accordée" aux banques depuis 2008: on a ainsi sauvegardé l' épargne des vieilles génération, transformant l' état et les jeunes générations en débiteurs de ceux qui les précèdent »
• « Personnellement j'ai toujours pensé que l'abattement des 10% sur impôt ne se justifiaient pas pour les retraités : c'est sensé représenter les dépenses liées au fait de travailler »
• « Encore un éloge de la famille et de la charité au détriment de l'autonomie et de la justice »
• « Bien entendu, d'ailleurs, "à votre époque" déjà, 25% des 18-24 ans vivaient sous le seul de pauvreté, 60 % des étudiants travaillaient tout en étudiant, le chômage des jeunes dépassaient la barre des 20% ou encore une chambre de bonne à Paris coûtait 800€ ... Quelle hypocrisie ! »

P.S : sur ce sujet, je ne suis certainement pas neutre, mais clairement militant.

Bien que cette étude ainsi que son analyse soient à prendre avec des pincettes, je me retrouve personnellement vachement bien dedans.

J'ai envie d'en découdre. Mais à l'inverse des sondés, je suis largement bien conscient que c'est uniquement un problème de génération : ils se sont plaint, n'ont rien fait, ont tout dévaliser, et nous allons payer pour eux. Il faut tuer le père.
À ce propos, le livre « Rien ne nous survivra. Le pire est avenir » de Maïa Mazaurette (SF) m'avait vachement plu (on a le droit de fantasmer)

voir aussi : http://foualier.gregory-thibault.com/?BGZMlQ