Point de vue intéressant de Maïa Mazaurette sur la codification du premier rendez-vous / de la première nuit. En fait, le premier rendez-vous n'existe pas (c'est sa thèse) car il est si codé qu'il est sans enjeu. C'est obtenir le RDV qui en est un.
(décidément, elle écrit de bons articles, mais ils se perdent entre tous ses articles chiants : la commande et le travail salarié j'imagine)
via : https://twitter.com/squintar/status/772734468499136512
Je l'ai déjà dit ici, mais il faut glorifier la complexité et détester la simplicité et l'unicité. Ce formidable texte de Thierry Crouzet (que je ne connais pas) l'explique clairement : « Manifester par millions, s’affirmer comme nation est d’une certaine manière incompatible avec la volonté de maintenir et de développer la liberté d’expression, c’est-à-dire une gigantesque diversité qu’ensevelit le mouvement unitaire d’un jour. »
À vos claviers.