TL;DR (lu jusqu'à la moitié, le reste en diagonal)
Rien à dire, sinon… pfff !
De Villepin qui écrit sur la Grèce, c'est surprenant. Autant cet individu a une tendance profonde à dire n'importe quoi sur tous les sujets, autant sur les questions internationales, il est louable. Le dernier des chiraquiens ?
« L’histoire récente de la Grèce, c’est l’histoire de la plus grande punition d’un pays en temps de paix. Il n’y a guère d’exemple d’un pays développé subissant, sans guerre, une telle chute de son revenu -25% depuis 2009. Un chômage des jeunes de 60%, c’est-à-dire une génération sacrifiée. Peut-on imaginer la rancœur qui s’installe pour des décennies dans ce pays, cultivant le ressentiment et le sentiment d’être victime de l’histoire ? »
Interview glaçante de Yanis Varoufakis, ancien ministre grecque des finances. Tout ça est très 1984.
« Ainsi, nous avons un groupe inexistant qui a l'immense pouvoir de déterminer la vie des Européens. On ne peut rien lui répondre, vu qu'il n'existe pas légalement; aucune note n'est prise; et c'est confidentiel. Ainsi, les citoyens ne savent jamais ce qui s'y dit. Ce sont des décisions de vie et de mort, et aucun membre ne doit répondre à qui que ce soit. »
via : https://twitter.com/CecileDuflot/status/620737979888308224