Super texte sur l'humour noir et sa nécessité. Et de l'indécence du pathos.
(je suis tellement d'accord avec ces points)
« Je blague parce que je préfère rire de tout de crainte de pleurer pour un rien. »
Pascale Robert-Diard (prd) nous explique dans cette chronique que la « compassion » des politiques, ici des présidents, est inutile voire emmerdante pour les familles de victimes.
De toute façon tout ça n'est qu'hypocrisie. J'en ai ras-le-bol de voir ces politiques se déplacer dès qu'il se passe quelque chose : leur travail serait bien plus efficace s'ils restaient dans leur bureau à travailler.
via : Maître Eolas