La presse archi-subventionnée, aux ordres, manipulatrice et débilitante s'en prend à Mediapart. Ce n'est pas étonnant. C'est un truc bien de saison que les privilégiés se transforment en chiens.
Heureusement, c'est une lame de fond, une lame démocratique qui arrive aujourd'hui et qui va les faire disparaître. Et Mediapart, à nos côtés.
Extraits :
« Mais c’était compter sans l’affaire Cahuzac et les haines recuites qui l’ont sans doute accompagnée, au sein de la haute administration de Bercy, et plus particulièrement du Budget. C’est ainsi que des contrôles fiscaux nous sont tombés dessus dans l’urgence, avec une extrême violence procédurale, à quelques jours des fêtes de fin d’année en décembre 2013. »
« Des citoyens qui reprennent confiance dans la presse, des emplois créés pour de jeunes journalistes, une indépendance renforcée sans conflits d’intérêts, un journal rentable avec un résultat net de 15 % du chiffre d’affaires, la perspective d’un statut de Société citoyenne de presse actuellement débattu avec les pouvoirs publics et des parlementaires, les batailles menées pour moraliser l’écosystème des médias et étendre les libertés à l’âge du numérique au profit de nos seuls maîtres, les citoyens, etc. »
« Mediapart est bien le laboratoire d’une nouvelle presse, totalement indépendante, totalement numérique, totalement participative, et c’est sans doute cela qui dérange ceux qui voudraient que rien ne change, que rien ne bouge, que rien ne s’invente. »