Quand un journaliste demande à des dictateurs africains comment ils font pour tenir aussi longtemps… ils ne savent pas ou ne voit pas le rapport !
Putain…
Pour fêter ses 100 ans, le Canard Enchaîné affirme que le coiffeur personnel de François Hollande touche 9895 euros par mois, mais doit être à disposition en permanence, partout où le président va.
Quand la politique ne fait plus que de la communication, ça ressemble à ça.
Vous vous souvenez de Hollande (les élections approchent, il y a beaucoup de marketing de gauche en ce moment) qui disait que le TAFTA était une mauvaise chose ?
Ben tiens, la France est l'un des 5 à demander l'instauration d'un tribunal arbitral. Foutage de gueule.
(Mais quand même : lire l'article pour voir les nuances)
via les économistes atterrés.
Indispensable Eolas. Ses explications, essentielles, toujours limpides (mais trop rares) sont tellement importantes. Je comprends mieux finalement la décision de Hollande (que je comparais plutôt à une indécision)
C'est aussi pour des phrases comme ça qu'il est indispensable :
« C’est un retour de bâton que se prennent les politiques, quand leur monstre de Frankenstein se retourne contre eux en frappant une personne, ici Jacqueline Sauvage, à cent mille lieues du profil rêvé du criminel d’habitude caricatural qu’ils ont à l’esprit. Je vous présente la réalité. Elle a toujours plus d’imagination que le législateur. »
EDIT : Voir aussi le commentaire n°3 : http://foualier.gregory-thibault.com/?43KhNQ
Très drôle. La déchéance de nationalité vue par l'humour, tout d'un coup ça met en perspective :)
via : https://twitter.com/PenelopeB/status/684365957008064512
Hollande : « Face au drame des réfugiés, nous proposons avec Angela Merkel un mécanisme d'accueil permanent et obligatoire en Europe. »
Maitre Eolas : « "Et nous l'appellerons Convention de Genève du 28 juillet 1951" »
Faut-il rappeler que l'accueil au titre de l'asile est une obligation légale qui découle de traités internationaux que nous avons signés ? Et qui nous engagent ?
Le crétinisme de la politique française. À son plus haut niveau.
Remarque intéressante de Glazou sur le livre de Trierweiler.
On peut le croire ou pas, mais c'est à propos d'un extrait où elle critique fortement les compétences des ministres (ou de l'entourage du président)