Un très très bon article sur les manœuvres financières autour de la société Pages Jaunes. C'est un cas d'école, qu'il faudrait lire et relire pour comprendre le fonctionnement des "fonds vautours".
Un bref résumé :
À la fin de l'opération, que s'est-il passé ?
C'est incroyable, parce que ça montre trois choses :
En clair, s'il ne fallait retenir qu'une chose : le « monde de la finance » n'est pas notre ennemi. Il fait son job, le fait bien, avec les outils qui lui sont donnés. En quelque sorte, il respecte le pacte économique. Notre ennemi, c'est le monde politique, qui d'inaction en incapacité et en faiblesse laisse le monde de la finance dépouiller nos ressources jusqu'au dernier centime, tout en exigeant que l'état assure ses opérations malencontreuses.
Assez des discours. De l'action. Mais je ne pense pas qu'ils se battent majoritairement pour l'intérêt commun. Les gens de la finance savent payer convenablement ceux qui sont en position de gêner.
Bernie Sanders, candidat à la primaire démocrate américaine, dans une vidéo de 2011 où il interroge sur la mise en place d'un marché de libre échange avec le Panama.
Extraits traduits : « L'économie du Panama […] représente 0,2% de l'économie américaine. Et je pense que personne ne va légitimement se lever ici et dire qu'échanger avec un si petit pays va significativement augmenter les emplois américains. Donc, pourquoi devrait-on considérer un accord de marché avec le Panama ? Que se passe-t-il ? »
À voir.
Les politiques de sa stature manquent au débat politique, même si à la fin, système aidant, ils n'accèdent pas aux postes vitaux.
via : https://www.facebook.com/atterres/posts/1115961985121645
Je viens de voir ce reportage sur ARTE. Ce qui confirme plusieurs points :
Bref, je recommande chaudement.
blanchiment
La Défense qui opte pour du matos Microsoft. Ce qui me choc le plus dans cet article, ce n'est pas tellement le risque d'espionnage. Je ne crois pas que la notion de secret défense / secret d'état existe vis-à-vis des US.
D'ailleurs, il a été fait plusieurs fois remarquer que les services français profitaient amplement du partage de données US, chose qu'ils ne peuvent pas faire ici. Bref, la souveraineté #onsenfou
Non, c'est plutôt ce que dit Isabelle Attard : « ce choix fait peser sur un ministère régalien de lourds soupçons de participation aux mesures d'optimisation fiscale d'une société américaine » [puisque ce sont des produits de MS Ireland qui sont commandés]
via : http://sebsauvage.net/links/?LpmxqA (je suis très en retard dans mes flux)