Je ne connais pas ce mec (apparemment je suis passé à côté du phénomène…) ni son organisation la Love Army, mais il faut lire ce qu'il raconte, parce que son histoire est symptomatique du délire de la presse.
Shorter: une agence de presse le contacte avec pour but de parler de son organisation / asso. Il met les choses bien au clair, ça doit parler de leur mission, de leur travail, pas du phénomène qu'il représente, pas de-sa-vie-rien-que-de-sa-vie, etc. Bref, pas de storytelling mais du journalisme. Résultat ? Un gros fuck.
Et après, ça va chouiner **ouin ouin, pourquoi on nous appelle les merdias nous pauvres "journalistes" incompris ? :cry: **
Heureusement, à côté de ça il existe une véritable presse qui fait le job. Mais lue par combien de personnes à côté ?
P.S : bon, l'avantage aura au moins été de me faire découvrir l'organisation et sa mission, puis surtout ses méthodes et pratiques. À toute chose malheur est bon.
via : https://twitter.com/NeilJomunsi/status/861095440938401793