Le 12 juin dernier, c’était l’anniversaire d’Émilie, 34 ans. Son mari dont elle venait de se séparer, Guillaume, 37 ans, mécanicien, lui a ligoté les chevilles et les poignets sur les rails d’un TGV Paris/Nantes.
Ouch.
Intéressant travail qui nous demande de ne plus considérer les féminicides comme des faits divers, et qui démontre plutôt une réalité sociale.
Certains cas sont décrits, mais surtout leur environnement, leur famille, les causes, etc. Ça recontextualise l'ensemble. Travail nécessaire.
via : https://twitter.com/PenelopeB/status/878195326653485061
Ah, bah tiens. On jette les réfugiés à la fureur du peuple, puis, plus tard et en douce, on explique qu'en fait ce n'étaient pas des réfugiés, et pas forcément que des agressions sexuelles.
via : https://twitter.com/BreakingThor/status/698210920435224576
Une fois n'est pas coutume : un article baitclic d'un site à buzz… néanmoins assez incroyable.
Une petite fille appelle la police pour prévenir que son beau-père est violent avec sa mère… déchirant.
Une histoire assez horrible qui est arrivée à une amie…
La bonne justice populaire des familles … et ses conséquences.
via : https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/469381331789836288
Ah, que la douce sérénité de la raison et de la réflexion fait du bien.
Eolas décortique l'histoire du bijoutier Niçois. Avec une nouveauté cette fois : une pointe d'émotion, mais en plus de la réflexion seulement.
Un texte à lire pour se rappeler pourquoi notre république fonctionne ainsi.
Putain, où va-t-on ?
"Ses conditions de travail étaient incompatibles avec la dignité humaine."
Un homme qui a travaillé pour de la porcherie industrielle dans des conditions affreuses.