Très intéressant. Bon, c'est plein de petites imprécisions mais le propos général est plaisant.
Pour résumer : là où les statistiques ont permis d'étudier la société à gros grains, donc en lissant les différences (par l'utilisation de "segments" "groupes" "moyennes / écarts-types" "clusters" etc.) l'informatique et le stockage de très nombreux critères descriptifs parvient à montrer et utiliser la complexité dont nous sommes faits. C'est vraiment une bonne chose que de ne plus "catégoriser" aussi facilement, parce que justement nous devenons conscience de la complexité intrinsèque de chaque personne.